samedi 31 décembre 2011

Un retour sur 2011 pour ce Blog

En ce dernier jour de l'année, j'ai voulu porter un regard sur les 8 mois réalisés autour de ce Blog.

Après quelques essais, j'en suis venu à cette image où les mots les plus utilisés depuis la création du Blog se sont placés naturellement dans ce coeur. En le lisant, j'y retrouve 2011.




Bonnes fêtes à tous.

vendredi 30 décembre 2011

Abracadabar : John Watson nous captive

En cette approche de la fin d’année 2011, dans cette semaine entre Noël et jour de l’an, les soirées et les fêtes s’enchaînent. Nous avions noté dans les concerts des jeunes artistes qui nous ont touchés cette année, celui de John Watson.
Nous vous avons déjà offert cette citation, elle s'est associée sans doute avec ce concert pour le mot Abracadabar et nous vous la proposons à nouveau car ce roman est pour nous un des meilleurs le la littérature française (Salambo): "C’était à Megara, faubourg de Carthage, dans les jardins d’Hamilcar" G.F., nous invitons tous les jeunes auteurs à lire, relire, méditer cette phrase : il y a le rythme, la force, l'équilibre des syllabes, en résumé : une très belle phrase de la littérature française.

C’était ce mardi 27 décembre 2011, à l’Abracadabar, bar entre Laumière et Ourcq. Si le lieu est connu pour ses programmations, nous n’avions pas encore eu le plaisir de nous y rendre.  Une pénombre est installée pour laisser la scène dans la lumière, mais les lumières sont un peu faible, cependant la sonorisation de la salle est bien réussie, en synthèse : une scène tout à fait acceptable.

Ce concert de John Watson nous montre une nouvelle fois la force de ses textes et de ses mélodies. Ce soir dans ce tour de chant nous retiendrons  La marche du temps :  "Il y a bien longtemps, j’avais toujours le temps, mais plus je grandis, plus je cours après lui, Délivre, délivre nous de cette course aux rythmes fous. Passe, Passe le temps, le temps défile et tout disparaitra, passe, passe les moments le temps s’effile entre mes doigts," … la manière dont John  Watson chante ses mots, rythme répété, opposant ce temps qui passe à l’instant vécu de l’écoute, opère, et marque cet instant et laisse en nous des bribes de mélodies qui le lendemain sont encore dans nos pensées, marquant ainsi du présent notre futur. Cette chanson est autour de nous.

Cette notion de temps qui passe, ravive quelques pensées :  "Quand nous racontons véridiquement le passé, ce qui sort de la mémoire, ce n'est pas la réalité même, la réalité passée, mais des mots, conçus d'après ces images qu'elle a fixées comme des traces dans notre esprit en passant par les sens" S.A  et pour nos amis anglophones : "what's past is prologue" W.S.
et une phrase d'évidence mais que nous adoptons : “L'avenir à chaque instant presse le présent d'être un souvenir” L.A.
Nous sommes sensibles à ces pensées, mais nous vous invitons à écouter les chansons de John Watson : profitez de ce bonheur du mariages des mots et des mélodies. N'hésitez pas à acheter ces quelques titres :


Enfin, John Watson et Lena Luce sont dans cette période de création et de fusion, Lena Luce présente à ce concert, nous offre avec John Watson une nouvelle version du titre Noces Funèbres. Un vrai bonheur nous est envoyé jusqu'au coeur. Merci Léna Luce, merci John Watson, vous êtes un vrai moment de plaisir lorsque vous chanter ensemble : talents partagés, qualités vocales d'une rare harmonie,  une belle réussite. merci d'avoir crée Noces Funèbres et d'avoir chanté ce morceau sur cette scène.

Notons que le 10 janvier 2012, ils seront réunis sur la même scène à l'étage. Nous ne pouvons que vous encouragez à être présent à l'étage et d'assister, d'applaudir et de prendre à satiété le bonheur qui nous sera offert.

A une prochaine.

lundi 19 décembre 2011

Lena Luce un talent confirmé pour cette nuit des jeunes talents

Une soirée variée, et des jolis moments à retenir


Un chapiteau, une piste pour scène, et des rangs et des rangs emplis de spectateurs, c'est la nuit des jeunes talents à Compiègne. Cette soirée c'est la cérémonie de remises des trophées, avec les qualités et les défauts associés à ce type de cérémonie.

Léna Luce en est une des resplendissantes marraines, habillée d'une robe fuchsia (d'Eva Bajsarowicz), elle est une des 4 guest Stars  (Michaël Jones, Lili Road et Anaïs Merle sont les 3 autres parrains-marraines) à entourer les 10 catégories des jeunes talents présentés ce soir.
Léna Luce offre au millier de spectateurs présents, 2 de ses chansons Métropolitaine et Corvisart.

Le duo John Watson, Léna Luce quelques minutes de rêves
Enfin elle propose en duo son nouveau titre avec John WatsonNoces funèbres.  Ce soir c'est au milieu de la piste, au milieu de l'étoile blanche au centre de cette toile rouge qu'elle rayonne, le grand écran permet d'admirer son joli sourire, la joie et surtout l'émotion partagée de sa voix, elle touche les coeurs. Ce soir elle est entourée de Vincent Arnaldi (Guitare) et de Guillaume Firon (Percussion), une mise en place simple, efficace et une qualité essentielle : un résultat harmonieux.
La sonorisation d'un chapiteau est un réglage compliqué, et le résultat du soir en est correct même si une véritable salle dédiée à la musique aurait sans doute apporté un meilleur résultat à Michaël Jones, Lili Road et Léna Luce.   


Léna Luce, sensibilité et talent
Difficile de prévoir l'avenir des jeunes talents récompensés ce soir, par contre l'aisance de Léna Luce devant ce public, l'engouement pour les refrains de Métropolitaine, la sensibilité qui touche chacun pour Noces Funèbres, tous ces élements confirment ou révèlent suivant votre connaisssance de Léna Luce les belles capacités artistiques de cette jeune chanteuse, auteur, compositeur/mélodiste, et interprète.

"Les quatre As", organisateurs de cette soirée ont déjà programmée Léna Luce à l'événement du 18 Fevrier 2011 à l'Espace Jean Legendre. Un set complet de 40 minutes. Nous ne pouvons que leur dire : excellent choix !




A bientôt.

En fonction des vidéos de l'événement, nous vous proposerons d'en ajouter les liens.



dimanche 18 décembre 2011

Thomas Pradeau au théâtre des Blancs-Manteaux

Thomas Pradeau aime la scène. Il est passionné, passionné par la scène, passionné par la musique, passionné par les mots, passionné par les arrangements, et surtout, il est doté d’un joli talent pour répondre joliment à ses passions.
C’est par son album "A deux pas de ma rue" que j’ai découvert ses chansons. Contrairement à d’autres artistes MMC que je suis, je n’ai pas assisté à la phase de préparation, il a été produit le 18 septembre 2008, bien avant mon arrivée sur le site. Les titres phares comme Audrey, Voler, Le pays de Molière, Mademoiselle, ont déjà des dizaines de milliers de visites (je vous invite à découvrir clips de Thomas Pradeau sur youtube) et surtout à vous procurer son CD (demander le pour noël, par exemple).
Ce samedi 10 décembre 2011, nous étions au théâtre des blancs-manteaux. C’est la 2ème fois où je le vois sur scène, la fois précédente c’était il y a quelques mois au Réservoir.  J’ai donc peu d’éléments de comparaisons pour vous dire, si c’était son meilleur spectacle. Je vais donc me fier à quelques avis que je recopie, pris ici ou là autour de mes parcours de pages web et des commentaires sur ce concert. 
En fait, je vais même retranscrire le résumé de la soirée de T. (ce qui me permet de me reposer dans l’écriture de cet article) :
"Un grand merci à Thomas Pradeau pour le concert qu'il nous a offert hier soir au Theatre des Blancs Manteaux de Paris. Thomas et ses musiciens nous ont offert une très belle prestation ! merci Aurélie pour toute l'organisation !"
Une très belle soirée qui débuta avec le titre: "On nous dit" les titres s'enchaineront brillamment, avec notamment "Audrey" - "Voler" - "La danseuse" - "Le pays de Molière" ....des titres pendant lesquels le public chante les refrains avec bonheur.
Des surprises, de beaux cadeaux, c’est que nous offre Thomas Pradeau avec des titres inédits : "La crise", "Aujourd’hui, je suis", avec une reprise du groupe Archimède « Les petites mains », enfin, cerise sur le gateau, au milieu du concert la venue sur scène du groupe Hushh avec Chrystelle et Raph , ils interprètent leur titre "Rose" accompagné de Thomas Pradeau au piano puis ils enchaineront tous les 3 avec "La Javanaise" de Gainsbourg sublime moment, version personnelle et très convaincante. Merci à tous pour cette belle soirée
C.R. poste un petit reproche "Salut ! Concernant le concert au Théâtre les blancs manteaux c'était pas mal... mais il y avait trop de batterie et pas assez de retour dans le micro !!!"  à comparer à M. qui écrit "j'ai adoré ta prestation, hier soir ! Tout était parfait. Un grand plaisir"
Je reporte aussi les mots de Thomas Pradeau, écrits sur sa page facebook après le spectacle : "Très beau moment avec vous samedi soir, Merci à vous tous qui avez fait le déplacement, sacré déplacement pour certains et certaines...Un grand merci â Hushh qui ont été supers. J'espère à très vite pour un nouveau concert."
Thomas Pradeau, c’est un artiste que j’apprécie, et je ne suis pas le seul car nous sommes nombreux à avoir participé à l’opération sympathique "offrir l’album" de Thomas Pradeau à un inconnu. Et si vous aussi, vous vous laissez prendre à ses chansons, n'hésitez pas à vous laisser tenter par cette envie d'offrir son album.
Je ne sais pas si des vidéos ou photos seront disponibles… en tout cas, je vous propose quelques photos de l’avant ou de l’après spectacle, occasion de revoir quelques amis et artistes, avec ce montage des personnes croisées ce soir là.

Remarquer le seul manteau blanc, dans la rue des blancs-manteaux, c'est la chanteuse Léna Luce, qui est une des marraines de la nuit des jeunes Talents le 16 décembre 2011.

samedi 10 décembre 2011

John Watson au China

Une nouvelle scène pour John Watson
Le China, une salle parisienne, ambiance bar-club décontractée en sous-sol, une salle de restaurant au rez-de-chaussée, c’est ici que John Watson invitait son public à le rejoindre ce jeudi 8 décembre 2011 au soir.  Un mois de décembre où les scènes s’enchaînent pour ce chanteur à la voix aérienne et chaude, qui de set en set nous ouvre les horizons de son cœur et de son univers poétique à l’image de son titre poème; et pour l’avoir entendu à la Scène Bastille, à L’étage, au Klub et au China ce soir, il colore par des sélections toujours différentes de ces chansons l’escale du jour. Nous aimons découvrir ce répertoire riche, en qualité et en nombre, où nous sommes attirés tout en douceur par ses mélodies pop ou folk, et le temps qui passe un des thèmes récurrents de John Watson.
Nous parlons de mois de décembre actif, car d’autres dates sont planifiées pour ce mois, mais aussi par les activités hors concert comme par exemple les créations offertes : nouveaux titres, nouveaux clips sur youtube, facebook ; ce soir, il interprètera le titre créé avec Léna Luce, Noces Funèbres, un duo plein d’espérance sur la force de l’amour.
Une scène maîtrisée
Fabien (premier Plan) et John Watson
La veste de scène de John Watson, apporte un petit côté martial adouci car ouverte et surtout il nous guide sur ses chemins en s’accompagnant de sa guitare, il impulse la vivacité ou les ralentissements de ses mots. Guitare acoustique alors que Fabien (son guitariste) est en guitare électrique, Fabien apporte sur scène les harmonies supplémentaires aux mélodies, et parfois pose quelques chœurs délicats, surprenants mais appréciés.  Le résultat est un bel équilibre que je vous invite à applaudir.

La découverte de Noces Funèbres
Nous avons pu entendre ce soir Amor à mort, Allez voir les étoiles, La marche du temps, Je me souviens, Les lilas, Poème, A la dérive, Noces Funèbres, Je m’en vais.
Un petit mot de la création du soir, Noces Funèbres, première fois que ce titre peut être entendu "en live", avec Léna Luce qui l'a rejoint sur scène pour cette chanson qu'ils ont écrite. Merci à eux, c'étaient un très joli moment de ce concert. Si vous n'avez pas vu leur reprise de "la seine, la seine, la seine", cliquer vite, vous pourrez ainsi juger de leurs qualités vocales et artistiques (la version originale est interprétée par V.Paradis et "M"), c'est vous dire.




Nous voudrions vous détacher un titre ou deux de John Watson, mais cette tâche est difficile (du moins pour nous) car le set a une première force de cohérence par l'agencement de ces titres, ensuite dans ce type de sélection, nous voulons vérifier et nous réécoutons les titres exclus et nous y trouvons des qualités certaines (équilibre entre légèreté et gravité de A la dérive par exemple) , alors disons que c'est le choix de l'instant où les mots se posent, de l'humeur de cette dernière écoute, qu'il y avait un peu de soleil sur Paris et nommons : Je me souviens et Poème.
En fonction de la qualité des vidéos de ce concert, nous reviendrons compléter cet article avec les liens. Vous pouvez l’écouter aussi sur sa page Noomiz, nous vous proposons aussi l'écoute de sa chanson Poème, un de ces titres emblématiques. 


Bonne écoute à vous.
alt : Noomiz

A bientôt

dimanche 4 décembre 2011

Statistique, en ce début décembre

Je fournis encore ces éléments sans vraiment de certitude sur ce qu'apportent ces informations.
Comme je dispose de ces 2 graphiques je les publie, et vous renvoie aux articles précédents (de juin et de mai 2011).
En deux mots, c'est un rythme plus lent d'accès aux 100K et d'une durée moyenne plus longue pour l'atteinte de ces 100K.
Ces graphiques se retrouvent aussi sur cette page, ici.


Pour les hypothèses et exclusions, lire les articles précédents.

samedi 3 décembre 2011

Les autres concerts de fin novembre 2011




C'est je crois le premier article où je vais parler d'un concert que je n'ai pas vu, c'est vous montrer l'engouement que nous avons pour cette jeune artiste Alexandra Tan, nous vous parlerons aussi du concert de John Watson à L'étage et de la video du duo Lena Luce et John Watson, cette reprise de Vanessa Paradis et "M" nous l'écoutons souvent très souvent.  
 
Alexandra Tan, elle s’est produite sur la scène « Aux petits joueurs » (59 rue de Mouzaïa, 75019 Paris ) ce dernier vendredi soir de novembre 2011, le 25, je n’ai pu assister à cette prestation, et comme je lui demandais comment s’était déroulé ce concert, Alexandra Tan a bien voulu nous transmettre ces quelques mots de ses impressions pour les partager et que nous vous transcrivons ici :
 
Quelle différence avec les salles précédentes, c’était ton premier passage « Aux petit joueurs » ?
La salle était comble et la différence avec les autres scènes que j'ai pu faire était que je ne connaissais personne dans la salle et que le public était venu pour voir un concert de blues par Eric Sauviat et moi je leur ai proposé de la folk ! Alors oui, c'est sûr que ça ne m'a pas mise à l'aise tout de suite mais l'amour de la scène a pris le dessus lorsque j'ai commencé à chanter!
Quels morceaux as-tu proposé ?
Je ne devais chanter que deux chansons à la base : Hoping for a smile et Changing puis on m'en a demandé une troisième : I'll be there. Eric Sauviat m'a accompagné sur les trois morceaux et le public a généreusement applaudit, certains sont même venus me féliciter à la fin du set.

J'aurai bien voulu, peut être ajouter au set une chanson qui envoyait un peu plus rythmiquement comme The land ou That cloud mais je suis quand même contente d'avoir présenté ces trois chansons ce soir là car elles ont pour moi une grande signification.

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Souhaitons à Alexandra Tan toute la réussite artistique qu’elle mérite, et nous serons présents à sa prochaine scène, et retrouvons là dès dimanche 4 décembre à 14h00 sur sa WebTV.

John Watson sur la scène de l’Etage
Cette semaine, j’ai eu l’occasion d’apprécier John Watson sur la scène de l’Etage dans un concert plein d’entrain. Un public varié, et en partie anglophone, nous y entendrons des chansons comme Amor à mort, Aller voir les étoiles, PoèmeA la dérive, Sacré CœurJe m’en vais...




J'ai aimé sa prise de risque, modifiant son tour de chant pour nos amis australiens, un tour de chant bien trop rapide, ce qui nous invite à vouloir le découvrir sur l'une de ses prochaines scènes parisiennes (Le Klub le 5/12 et le China le 8/12).

A ce propos, je le félicite car j’ai adoré la reprise qu’il a crée avec Lena Luce de « La seine, la seine, la seine » (Vanessa Paradis et M, Mathieu Chedid) (en voici la video) ….







Lena Luce vous pouvez la retrouver aussi sur MMC pour suivre son actualité.
Ces chansons Stalingrad, Corvisart, 4 septembre, Rambuteau sont parmi mes plaisirs d'accès au site, elle est avec Alexandra Tan, Lyps, TibzHushh une de mes principales raisons de le parcourir.
  
A bientôt ….

mercredi 30 novembre 2011

Hushh et le Zebre de Belleville

J’aime écrire des articles après le concert des Hushh, Chrystelle est une  de ces voix qui me touche particulièrement. Elle possède ce talent accompagné de cette force particulière d’une performance rare, d’une solidité à vous éblouir pendant tout le concert. J’aime, j’aime, j’aime et j’aime encore.
Il me semble que dans la salle de nombreux spectateurs auraient pu s’intéresser au match de foot du soir le classico « OM –PSG » (pour l'histoire 3-0), j’admets - je parle pour moi - mais tous nous sommes captivés par Chrystelle et le spectacle des Hushh.
Ce soir, les Hushh jouent dans la salle du Zebre de Belleville, 63, boulevard de Belleville 75011 PARIS. Ils jouent en full band ainsi constitué  :
Philippe Boulakia (Clavier) ; Julien Pinet (Basse) ; François Keriven (Batterie) ; Saskia Waledisch (Violoncelle) ;Yseult Williams (Choeurs)
 
Ils ont invité le groupe Oho en première partie.

Le set des Hushh démarre : Slipping away, rushh, respire moi, lonely people, Zkerni, A capella, paint the world, catch me, rose, wicked game, Libérez moi, un morceau de percu, one way. Avant un joli “bis” de A capella.


Pour être franc, je ne sais pas définir ce qu’il m'a manqué ou a perturbé la perfection que j’attendais ce soir. Peut-être est-ce cela, j’attendais trop d’être totalement envahi d’émotion, embarqué sans pouvoir résister.

Est-ce les petites imprécisions du début du concert, sont-ce les nouveaux arrangements comme sur le catch me, le passage en fin d’un moment de percussion qui m’éloignent du mot perfection ?  
Pour en avoir discuté avec d’autres spectateurs, nous n’avons pas eu les mêmes ressentis des moments forts, des moments plus retenus, en fait, le public est conquis, nous sommes conquis. 
Il y a eu beaucoup de ces moments de justesse, de surprise, et pour ces moments là, j’applaudis, j’applaudis encore ce matin, et je vous invite à venir les applaudir, je vous invite à les soutenir sur le site MMC. Les Hushh c’est un groupe dont nous devrions tous disposer de plusieurs albums dans notre CD-Thèque. Cette version de « Rose » est un bijou qui nous a été offert délicatement, magnifiquement : merci, un énorme merci.

Le titre Acapella dans cette version est redoutable d’efficacité, le public les a acclamé comme il faut, et c'est un joli cadeau qu'ils nous ont offert en le reprenant comme bis.
Avoir mis en place l’accompagnement d’un violoncelle est un excellent choix, la voix de Chrystelle, la guitare de Raphael se marient si bien avec ses sonorités tendres et chaudes du violoncelle, un bravo spécial à Saskia pour sa délicatesse.
Que vous dire, encore, le Zkerni est un morceau d’une force rare, je crois que je ne me lasserai jamais de l’entendre, que Libérez moi sont deux jolis mots pour une si belle chanson.
Ce concert démontre que les Hushh sont devenus un groupe plein de maturité, ils possèdent à présent un set de chansons complet, qui peut assumer différentes approches ou arrangements.

Le Zèbre est devenu rouge de plaisir, et accompagnait les sourires de satisfaction du public, dont Hansi était un excellent représentant. Merci à Chrystelle de ce moment.

Pour conclure, un dernier mot sur Raphael, il nous a livré sa maîtrise de la guitare, nous déposant des moments de virtuosité avec une si belle aisance que l'émotion pouvait s'épanouir sans se sentir écraser. Je vous invite si vous ne l'avez pas entendu à écouter son touché sur l'enregistrement de l'homme en noir de Tibz. C'est grand aussi.



A bientôt ….


samedi 12 novembre 2011

Nathalie sur la scène du Réservoir

Le réservoir c’est une salle de concert que j’aime. Une des raisons est que de nombreux artistes que j’apprécie s’y produisent. Ce soir du 10 novembre 2011, j’ai bien cru que les ennuis professionnels et que l’intensité de la circulation parisienne et environnante allaient me pousser dans les champs des regrets : regret de n’avoir pu y entendre Thomas Parth, regrets de n’avoir pu applaudir Nathalie Beaton, regrets de n’avoir pas rencontré les autres amis présents.
Et après ce concert, je sais que mes regrets auraient été encore plus grands si j’étais vraiment arrivé en retard, car ce que nous a envoyé Thomas Parth, en première partie de Nathalie Beaton a fait vibrer la salle d’une belle ferveur, chaude à souhait, efficace. Nous y reviendrons en fin d’article.

Nathalie, une belle découverte
Nathalie Beaton au Réservoir, en ce soir du 10 novembre 2011, c’est une découverte, une belle découverte, c’est la première fois que je l’entends dans un set complet sur scène.
La salle est pleine, de nombreux spectateurs, de producteurs, d' amis, ils sont là pour soutenir son projet (Nathalie Beaton est en pleine préparation de son album chez MMC après avoir atteint les 100k, il y a quelques mois : le 15 février 2011), la salle est en configuration diner-spectacle, comme pour le concert de Lola Dargenti quelques semaines plus tôt.


Nathalie du talent, une artiste soul et jazzy 
Nathalie Beaton c’est une voix chaleureuse. Sa voix se dépose en nous, dans des sonorités mélangeant un côté blues, soul et jazzy où les musiciens qui l’accompagnent sont à la hauteur du talent de Nathalie. Merci à Eric Sauviat (guitare électrique), Paul Breslin (guitare électro-acoustique), Nicolas Chelly (basse), Laurian Daire (clavier) et Fred Choukairi (Percu).


Au-delà de ses qualités vocales, la force, la très jolie force de Nathalie c’est son envie à vouloir nous faire vivre de beaux moments avec elle, vibrer, frissonner sur les titres qu'elle nous propose. Elle nous demande de l’aimer comme elle est, et c’est facile de répondre à cette demande, il suffit de lui renvoyer un bout de l’amour qu’elle nous envoie, un tout petit bout de tout cet amour qu’elle nous transmet. Elle nous enveloppe de sa générosité et nous sommes bien. Nous aurions pu écouter encore beaucoup de ses chansons, deux de plus pour le rappel, trop peu !

Un set harmonieux, des souvenirs pour demain
"Bonsoir tout le monde … merci d’être là…" ce sont les premiers mots du concert, où nous entendrons down on my knees, sortie de secours, je perds le nord, le creux de la vague, telle que je suis, même la madonneseigneur, c'est comme ça, game overbanque des soucis. C'est un joli set qui a chauffé l'ambiance de la salle à cette température où l'harmonie et la symbiose entre artiste et son public sont atteintes pour le bonheur de tous.
 
Et pour les conserver les mots facebook de Nathalie après le concert :
« Merci à tous pour cette soirée inoubliable !!! Pour votre présence, vos coms d' Amour. Le Reservoir a permis une soirée chaude et intimiste, j' ai beaucoup aimé vous offrir cela.
Merci à tous d'être venu me découvrir sur scène et au prochain concert » 





Thomas Parth un talent solide, le réservoir a résonné de ses qualités
Thomas Parth que j’apprécie tant à la taverne de Cluny montre ici le plaisir d’être sur une scène plus vaste et pour nous dans une configuration à 4 musiciens qui donne bien Florent Gayat (basse), Hugues Frontino (guitare électrique) et Fred Choukairi (Percu).



Lorsque que je dois faire découvrir Thomas Parth, j’invite souvent les gens à écouter la pluie, ce n’est peut-être pas la plus représentative de ses créations, mais la pluie est pour moi la plus équilibrée de ces chansons entre ces mots exprimés et cette musique un peu lancinante, elle est aboutie, ou disons plus simplement c’est celle qui me touche le plus.
Alors la recevoir en dédicace ce soir a été une belle surprise. Merci Thomas.
Il quitte le site de MMC, mais n’hésitez pas à suivre sa page Facebook ou à vous rendre à la Taverne de Cluny pour le voir interpréter de nombreux standards anglophones, et parfois quelques une de ces compositions comme La pluie, un must.


Comme nous le répétons pour chaque concert réussi : Nous sommes déjà prêts pour le suivant Nathalie. Nous sommes déjà prêts pour le suivant Thomas.
Hâte de vous entendre à nouveau sur scène.


Note 1 : l'article sera modifié si des videos sont disponibles pour en ajouter les liens. Comme delui de Down on my knees :



Note 2 :Crédits Photos : MarcB et Choupinette Marinette


lundi 31 octobre 2011

Nouvelles des nouvelles étoiles

Un lieu à connaître
Un nouveau mot sur la taverne de Cluny. J’aurai pu depuis le précédent article en faire de nombreux car Thomas Parth invite régulièrement des musiciens et des chanteurs à intervenir aux sessions organisées en semaine (mardi, mercredi) ou en week-end (vendredi et samedi).
 
Chanson, chanson, chanson, musique
Fred Choukairi y est fréquemment aux percus (Cajon), et à l’occasion de son anniversaire, il y a organisé un petit événement, c’était la semaine passée le 22 octobre 2011 : Tibz, Thomas Pradeau, Nathalie Beaton (En concert le 10 novembre au Réservoir), Fred Monneron, Alexandra Tan, Alice Noël.  Je n’ai pu assister à toute la soirée mais les échos des uns et des autres et surtout des clients de cette taverne devenus pour un temps un public réjoui montrent une belle ambiance où les reprises et les jam sessions se sont enchaînées, sans autre volonté que de passer des bons moments ensemble.
Tibz, sa semaine parisienne, des jolis titres posés
C’était la semaine parisienne de Tibz : Jam session à la taverne, studio (enregistrement au studio MMC de l’homme en noir), video de la reprise chantée en duo avec Léna Luce du titre Lola Berlin du groupe Zero,(que l’on peut voir ci-dessous, joliment commenté par MyMajorCompany : "on adore, et vous" , nous aussi nous adorons !). Semaine qui s'achève par une nouvelle soirée taverne le 28 octobre où en quelques morceaux il nous montre une nouvelle fois l’étendu d’un talent qui nous enchante déjà.


La taverne de Cluny, le 28 octobre 2011
Au cours de cette dernière soirée, Alexandra Tan interprète en plus de ses titres quelques reprises comme : Hey soul sister de Train  et Ironic d’Alanis Morisette . Elle nous envoie aussi un ACDC en compagnie de Thomas Parth « Highway to the Hell », jolie assurance d’une artiste douée et que dire de l’halleluja avec Tibz et Thomas Parth : un moment qui reste en mémoire.
Alexandra, Hugues, Thomas Parth, Fred Choukairi, Amandine (IKA)
En aparté Alexandra Tan nous a révélé qu’elle travaille sur une reprise de chanson française, (dès que cette version est disponible nous ajouterons le lien).
Un joli plaisir est d’entendre aussi la voix d’Amandine (Groupe IKA) venue aussi pour cette soirée et nous offre un duo avec Tibz bien agréable. Elle nous propose un "What's up" de 4 non blondes, avec Alexandra Tan en choeur sur les refrains. Elle nous offre aussi une version live de "Drôle de vie". (Ika a atteint les 100k en début d'année, et travaille actuellement à son album).
Tibz, Thomas Parth, Hugues

Voilà,  pour conclure c’est vraiment un bel endroit pour les amoureux de musique à Paris, et un clin d'oeil à cette photo où Thomas Parth et Tibz ont trouvé la solution improvisée pour que Tibz puisse faire sonner son harmonica tout en s'accompagnant de sa guitare.  

C'était sur la reprise de la chanson Heart of gold de Neil Young.  








PS : et c'est aussi un bel endroit pour suivre Thomas Parth qui poursuit sa carrière en laissant MMC derrière lui.
Vous pourrez aussi retrouver Thomas Parth en avant première au concert de Nathalie Beaton au réservoir le 10 novembre 2011. Nous y serons. 

dimanche 16 octobre 2011

Lola Dargenti : la scène bastille

Emouvant  ?
Vous connaissez ce phénomène du film que l’on a vu avec un certain plaisir mais une semaine après il n’en reste presque rien, même  le titre ou la trame de l’histoire ont disparu de notre mémoire. C’était un moment agréable - quoique -  mais il ne laisse pas d’empreinte en vous. Et durant ce retour arrière une pointe de regret surgit lorsque la porte s’ouvre sur ce que d’autres livres, d’autres films ou d’autres rencontres auraient pu transformer en vous, apporter en vous des questions qui vous élèvent.
Le dernier concert de Lola Dargenti est à l’opposé de ces souvenirs qui s’estompent.  Lola Dargenti c’est grand.  Plus de deux semaines après cette scène bastille, je viens déposer quelques mots que j’avais préparés après le spectacle.  Les belles émotions créées par Lola Dargenti durant ce concert restent dans le cœur, dessinant de délicates empreintes qui permettent de transformer des moments vécus depuis, un bel effet.
Le concert de la scène bastille
« Le second album de Lola Dargenti, nous sommes très nombreux à l’attendre : évidemment, il y a déjà tous les producteurs MMC qui ont misés sur sa jauge (Lola Dargenti a atteint les 100K en avril dernier avec 1190 producteurs) mais aussi tous ceux qui ont déjà eu le plaisir de la découvrir en concert.



En me rendant à la Scène Bastille ce soir du 1er octobre 2011, les souvenirs du concert du réservoir du dernier mois de juillet sont étonnamment présents, un concert où Lola Dargenti a montré de si belles qualités. Pourra-t-elle nous surprendre ce soir, apporter plus force et de douceur encore que cette révélation du Réservoir, nous emmener plus haut dans ces états particuliers d’enthousiasme et d’enchantement ? Dès les premières chansons la réponse est oui. Pour notre grand plaisir Lola Dargenti est maîtresse de la scène. Vous avez sans doute en tête la douceur de cette artiste, cette capacité à transmettre de belles émotions, si bien symbolisée par la chanson "dis-moi" ; ce soir Lola Dargenti nous montre que le travail accompli est d’une efficacité formidable.

Lola Dargenti est chez elle
La fragilité, la douceur, la beauté de sa voix, s’enrichissent d’une nature plus mature, avec quelques autres dans la salle, nous sommes non plus sous le charme de l’ange Lola Dargenti, mais sous le talent d’un ange coloré, devenu mi-ange et mi-démon. La tenue de scène, bottes bleues, pantalon noir de cuir moulant soulignant cet effet, comme les arrangements plus variés, entre les parties acoustiques et les parties électro.
Lola Dargenti nous dirige de chansons en chansons, elle est la pilote, la commandant de bord de notre voyage en ces nouveaux mondes.

Le Luca d'Hugo
Les mots échangés entre les chansons sont des touches de couleurs, de joie, comment ne pas sourire aux réponses attendues ou inattendues comme la connaissez vous lorsqu’elle présente Tatoo, une reprise qu’elle propose souvent à ses concerts, c’est une chanson de Jordin Sparks de 2007 que Lola Dargenti aime beaucoup, et naturellement une partie du public le sait désormais et peut réagir, : fou rire assuré…elle donne une autre reprise  avec  Anytime, de Brian McKnight de 1997.
En présentant "Tous Coupables", elle provoque notre connaissance de la langue espagnole , en effet dans cette chanson, un peu à part de son univers mais une chanson forte, dans le refrain, deux phrases sont livrées dans un souffle, je vous les donne ici : Perdon perdon si somos de hielo / perdon perdon no iremos al cielo.
Je n’ai pas noté l’ensemble du set, mais nous avons pu entendre :  Livre Ouvert, Le Malaise, Dis moi, Hugo, Ce tout petit rien, Tatoo, Tous coupables, Droit au but, Début d’histoire, Anytime, Trop bonne trop conne, C’est si difficile.


Je suis peut-être captif de la voix de Lola Dargenti, mais pour ces moments, ces concerts, je veux bien être captivé par le prochain concert.
  Hâte de la revoir sur d'autres scènes

Remercions aussi les musiciens, il s’agit de la même équipe que celle du Réservoir  :

Arthur Camion (bassiste) qui accompagne Lola Dargenti à chacun de ses concerts, j’adore sa manière d’être à ses côtés mais surtout son talent de musicien, présent, efficace, Yoann Kempst (Guitariste), Julien Goepp (Batteur), et évidemment Wendy Milton (Clavier) , homme discret de cette scène, mais son talent se révèle dans les sonorités qu’il produit et qui se marient si bien à la voix de Lola Dargenti.

Autre plaisir de cette soirée, c’est d’avoir revu Nathalie Beaton, qui prépare son album chez MMC, et surtout qui nous offre un concert au Réservoir le 10 novembre 2011. Ne manquez pas ce concert. Thomas Parth en fera la première partie.

Pour conclure : Lola Dargenti est à présent au Canada où elle travaille avec Rick Allison. Souhaitons lui un avenir radieux et pour nous souhaitons que le résultat de cette collaboration nous surprenne et nous montre que leurs talents joints sont riches en partage.

A bientôt...

lundi 3 octobre 2011

Music Expo, une nouvelle scène parisienne pour Lena Luce.


Nouveautés et talents

Cette nouvelle scène parisienne est nouvelle à plusieurs titres. Elle est nouvelle pour les organisateurs de Music« Expo », il s’agit de la première édition de Music Expo à la porte de Versailles, de cet événement qui se veut évidemment le premier d’une longue série.

En tout cas, Nicolas Cailloux, le directeur de Music Expo s’en donne les moyens, le plateau des artistes confirmés permet d’y voir Joyce Jonathan, Anggun,  etc, et je ne peux que les féliciter dans la programmation de la scène découverte et du choix de retenir Léna Luce.

La seconde nouveauté de cette scène, c’est la première de Corvisart sur scène.  Léna Luce chante ce titre avec la certitude et la solidité de son talent, et l’imprévu de la mise en place sur cette scène. C’est un titre fort qui confirme tout le bien à attendre de la collaboration entre Léna Luce et Siegfried. Si un ou deux titres laissent un peu sur leur faim, je pense à Château Rouge, d’autres sont des évidences dans l’équilibre atteint entre l’inattendu, le décalé, la mélodie, la ritournelle. Je songe naturellement à des chansons comme Stalingrad.
La troisième nouveauté de cette scène, c’est que les passages de Léna Luce sur scène sont trop courts,  … quoique ce point n’est pas vraiment nouveau et il n’est pas spécifique à Léna Luce, sensation fréquente quand  un artiste nous embarque, la fin du concert apparait trop brutale, enfin avec Léna luce cette perception est belle et bien présente, la frustration est violente. Siegfried et Léna Luce nous montrent que ce sentiment est partagé et la vraie nouveauté apparait avec la scène annexe qu’ils  annexent. Le showcase unique et joliment réalisé, ce showcase de Léna Luce à Music Expo en ce samedi 1er octobre est une merveille d’émotion. L’installation et l’infrastructure de cette scène annexe pourront évidemment être améliorées pour la seconde édition de Music Expo pour que les nouveaux artistes en bénéficient, car je prends le pari, que Léna Luce, elle, sera retenue dès l’année prochaine pour la Grande Scène.

La quatrième nouveauté provient du public, la présence des tchou-tchous prod amène une densité autour de la scène, attirant regard, photos, videos, et surtout émotions partagées. C’est la première scène parisienne ou autant de tchou-tchous prod sont présents, comme « Adelscott », Aurélie, Dorothée, Julien, Olivier, Quentin, etc. Applaudissements, encouragements pour la Métropolitaine , une des chansons de Léna Luce.

Arrêtons là pour les nouveautés du jour. Saluons les constantes, le talent de Léna Luce, ses musiciens du jour Siegfried et Fred Choukairi.
Une file de dédicace
Avant de reparler du showcase sous la tonnelle, signalons que les organisateurs ont prévu une zone dédicace qui a largement dépassé leurs espérances et peut être fait quelques envieux. Une file d’attente s’est formée et les jolis mots écrits de Léna Luce se sont inscrits sur les flyers de Music Expo, enfin pas toujours, l’un des tchou-tchous a tendu son PC-portable blanc, pour que Léna Luce le décore et inscrive quelques mots (voir la photo ci-dessous milieu droit).

Cet attroupement a attiré les photographes et  service presse présents à Music Expo, et nous devrions voir quelques photos de ces professionnels prochainement.

Une tonnelle, une artiste, un concert

En ce jour de début d’automne, il fait très chaud à Paris, un ciel bleu, limpide, laisse le soleil chauffer la place, un vrai jour de plein été pour saluer Léna Luce et pour que nos yeux soient éblouis autant que nous le sommes par les mélodies offertes. Elle reprend les titres de la scène, Corvisart à nouveau pour le plus grand plaisir des présents, puis Rambuteau.

Léna Luce enchaine alors avec Madeleine, Château Rouge, Alma Marceau (une nouveauté, en fait une chanson ancienne que nous découvrons).
Puis une dernière chanson de Siegfried est proposée, qui sous la voix de Léna Luce prend le titre de Victor Hugo pour finir en douceur, en force et en "i"; un extrait de la Bohème de C.Aznavour est joliment entendu pour clore cette scène.



Un bel événement pour ce 1er octobre 2011.
 
Note : Merci à Tony pour les vidéos, merci à tous les tchou-tchous prods, nous ne pouvions pas tous les citer

Musique : player Alexandra Tan

Musique : player Lena Luce